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Bovins de boucherie L’offre reste juste suffisante pour la demande

Même si les industriels ont réduit leur activité, ils peinent toujours à couvrir leurs besoins dans le domaine des réformes laitières. Malgré la volonté de limiter l’inflation dans l’assiette du consommateur, la revalorisation du prix de la viande française va se poursuivre, notamment pour la viande transformée.

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L’activité commerciale reste porteuse dans les réformes laitières avec une progression des prix dans les campagnes avec des prim’holsteins P +/O– lourdes qui se négocient entre 4,60 et 4,70 € et des vaches P=3 qui se situent entre 4,40 et 4,55 € suivant le poids ou les abattoirs. Cette progression des prix continue de mettre à mal la filière du bio avec un certain nombre d’éleveurs qui revient dans le circuit conventionnel.

Dans le domaine des races à viande, la tendance est également à la fermeté, même si la progression est moindre que pour les laitières. Sur le marché de Cholet, l’écoulement est fluide dans les parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises, avec des tarifs qui se stabilisent après la hausse de la semaine passée. Les blondes d’Aquitaine lourdes se valorisent entre 5,70 et 6,05 € et les parthenaises de qualité bouchère se vendent de 5,90 à 6,50 €. Les charolaises R se négocient régulièrement entre de 5,30 et 5,35 €.

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